vendredi 26 février 2010

Le gaz à effet de serre CO2, bientôt source de carburant?

Le dioxyde de carbone, depuis longtemps identifié comme le principal coupable du réchauffement de la planète, pourrait se faire une nouvelle vertu si une petite société américaine réussissait son pari de le transformer en essence. La technologie développée par Carbon Sciences recourt à des micro-organismes, qu'elle appelle "bio-catalyseurs": dans un premier temps il faut "déstabiliser" le dioxyde de carbone en le mélangeant avec de l'eau. Puis les micro-organismes, protégés par des coquilles de polymère spécialement mises au point, se chargent de recomposer hydrogène et carbone pour produire des hydrocarbures. Cette petite entreprise de Santa Barbara se dit prête à construire une première usine pilote à l'échelle opérationnelle, qui pourrait commencer à produire un biocarburant de nouvelle génération dès la fin 2010.

Depuis le début de la révolution industrielle, les combustibles fossiles à faible coût, comme le pétrole et le charbon, ont propulsé l'humanité vers une nouvelle ère de progrès technologiques et dans la vie moderne. L'industrialisation s’est étendue à toutes les régions de la planète, mais cela a entraîné une forte augmentation de la consommation de carburants fossiles. La demande pour ces ressources non-renouvelables a fait grimper les coûts de l'énergie à des niveaux inimaginables, et ce faisant, a entraîné le rejet dans l’atmosphère de milliards de tonnes de CO2. Cette double crise énergétique et climatique menace notre mode de vie, ainsi que la sécurité des nations. Relever ce défi est l'un des besoins les plus pressants de notre époque.

La science du carbone a permis l'élaboration d'une technologie révolutionnaire : recycler le dioxyde de carbone (CO2) en l’utilisant dans la production d’essence et autres combustibles. Innover à l'intersection de génie chimique et bio-disciplines de l'ingénierie, nous développons un unique, l'efficacité énergétique et hautement évolutive de procédés biocatalytiques pour répondre aux besoins en carburant de la planète. Avec plus de 43 milliards de tonnes de CO2 émises chaque année d'ici à 2030, il ya une offre abondante de matières premières disponibles pour produire des carburants renouvelables et durables pour la consommation mondiale et de réduire notre dépendance au pétrole.
Carbon Sciences is developing a breakthrough technology to recycle carbon dioxide (CO2) emissions into gasoline and other fuels. Innovating at the intersection of chemical engineering and bio-engineering disciplines, we are developing a unique, energy efficient and highly scalable biocatalytic process to meet the fuel needs of the world. With over 43 billion tons of CO2 emitted each year by 2030, there is an abundant supply of raw material available to produce renewable and sustainable fuels for global consumption and reduce our dependence on petroleum.

jeudi 25 février 2010

Weather Office in Britain Proposes Climate-Gate Do-Over

At a meeting Monday of 150 climate scientists, representatives of Britain's weather office proposed that the world's climatologists start all over again and produce a new trove of global temperature data that is open to public scrutiny and "rigorous" peer review.

If you're still unsure about this climate-gate thing, i'm sure you want all Humans to stop polluting.

UltimatumMedia supports initiatives to help protect our environment.

mercredi 24 février 2010

Gaz à effet de serre: l'idée d'un régime nord-américain est abandonnée

Le gouvernement Harper, par la voix du ministre de l'Environnement, Jim Prentice, a annoncé qu’il renonçait à la création d'un régime nord-américain de plafonnement et d'échange d'émissions de gaz à effet de serre pour lutter contre les changements climatiques.
Le ministre Prentice justifie l’abandon du régime appelé "cap and trade", du moins à court terme, par l’incapacité de l'administration démocrate de Barack Obama de faire adopter une telle mesure au Sénat des États-Unis.
Rappelons que les démocrates ont perdu leur majorité qualifiée au Sénat, à l'occasion de l’élection partielle du 19 janvier dans le Massachusetts, à la suite du décès du sénateur Ted Kennedy.
Cette défaite diminue considérablement les probabilités de création d'un marché d'émissions de gaz à effet de serre. La Chambre des représentants a adopté en juin 2009 un projet de loi en ce sens qui prévoit de réduire les émissions de GES de 17% en 2020 par rapport aux niveaux de 2005. Cette impasse au Sénat empêche le président de signer toute loi sur les changements climatiques.
M. Prentice a réaffirmé l'intention du gouvernement canadien d'harmoniser sa politique environnementale avec celle des États-Unis.
En attendant, M. Prentice entend harmoniser les réglementations des deux pays en matière de transport, responsable de 25% des GES sur le continent. Des normes communes d'émissions de CO2 pour toutes les automobiles sont prêtes et doivent entrer en vigueur le 1er janvier 2011.
Les deux capitales doivent maintenant harmoniser leurs règlements dans le cas des camions lourds, des trains, des bateaux et des avions. Après le transport, les deux gouvernements s'attaqueront à l'industrie de l'électricité.

mardi 23 février 2010

Virage vert dans les parcs du Québec

La Société des établissements de plein air du Québec entreprend un virage vert en 2010. L'organisme, qui qui s'occupe de la gestion de 23 parcs nationaux et réserves fauniques du Québec, veut réduire son empreinte écologique. Véhicules électriques, bûches certifiées, achats locaux et biocarburants sont sur la liste.

La SÉPAQ prépare un appel d'offres pour l'achat d'une dizaine de véhicules électriques utilitaires. Ils seront utilisés au cours de l'été dans le cadre de travaux de maintenance et de patrouille dans les parcs.

Chaque véhicule devrait coûter entre 18 000$ et 20 000$. Leur vitesse maximale sera de 50 km/h avec une autonomie d'un minimum de 50 km. Les employés de la Sépaq pourront les brancher dans des prises électriques lorsqu'ils effectueront leus tâches.

Les parcs de la Montérégie, de l'Estrie, des Laurentides et de l'Outaouais seront les premiers à en recevoir. Une quarantaine devrait être en service dans les prochaines années.

La Sépaq consacre annuellement environ deux millions de dollars à l'achat l'essence et le diésel nécessaires pour faire rouler sa flotte de 1400 véhicules. Celle-ci inclut des automobiles, des camionnettes, des camions, mais aussi des véhicules tout-terrain, des remorques, des motoneiges et même quelques gros équipements industriels, tels des rétrocaveuses et des camions-bennes.

Si les véhicules électriques exercent un certain attrait, ils ne peuvent pas tout faire. Les camionnettes serviront encore pour atteindre les endroits qui sont très montagneux et très accidentés.

Sacs et bûches certifiées

Sensible aux préoccupations environnementales de sa clientèle, la Sépaq a fait ses adieux aux sacs de plastique jetables. Enfin, ils sont presque disparus. «Les établissements de la Sépaq n'utilisent plus de sacs de plastique depuis l'année dernière (2008). Mais le bois que nous vendions pour les feux de camps venaient dans des sacs de plastique. Nous étions en contradiction avec nous-mêmes. C'était très paradoxal», reconnaît Alain Mochon, responsable du service de la conservation et de l'éducation au parc national de la Yamaska.

Encore ici, c'est grâce à des projets-pilotes qu'une solution a été trouvée: les sacs réutilisables. Les parcs nationaux d'Orford et d'Aiguebelle en Abitibi-Témiscamingue en ont fait l'expérience l'été dernier. Le fonctionnement est simple: les campeurs laissent un dépôt pour un ou des sacs et les remplissent de bûches. On les rembourse lorsqu'ils retournent les sacs.

Le parc national de la Yamaska a expérimenté une autre solution l'année dernière: des ballots de bois attachés avec des ficelles. Bien que l'expérience ait été concluante, les dirigeants du parc opteront cette année pour les sacs réutilisables, indique M. Mochon. «C'est moins compliqué. On devait trouver un fournisseur qui accepte de nous livrer les bûches dans des ballots de ficelles. Plusieurs refusent.»

Les parcs du Bic, dans le Bas-du-Fleuve, et de la Pointe-Taillon, au Lac-St-Jean, pourraient également avoir recours à ce système cette année. Ils vont tenter de s'entendre avec des producteurs de bois de leur région. Pour tous les autres, il faudra attendre puisque leurs contrats d'approvisionnement de bûches se terminent cette année. «Il va y avoir une réflexion pour voir ce qu'on va faire dans l'ensemble de nos parcs», explique Aubin Rouleau.

En optant pour des sacs réutilisables, les parcs nationaux de la Yamaska, d'Orford et Aiguebelle réduiront considérablement leur empreinte écologique. Bon an mal an, les utilisateurs de ces trois parcs brûlent 350 cordes de bois, l'équivalent de 85 000 ballots de bois.

La Sépaq encouragera pas ailleurs les parcs à faire affaire avec des producteurs de bois de leur région respective. On tient à éviter que les camions chargés de bûches ne parcourent de longues distances. «Des fois, il y a du bois qui se promène pas mal. Ce n'est rien pour réduire les gaz à effet de serre», note Alain Mochon. Le biologiste ne manque pas de rappeler que l'un des objectifs des parcs nationaux est la conservation de la nature. «Il faut être conséquent avec nos choix.»

Autre nouveauté: les fournisseurs de bûches devront prouver que leur bois provient de forêts exploitée de manière écologique. Le parc de la Yamaska l'exige depuis deux ans maintenant.

Biocarburants

La Sépaq s'intéresse par ailleurs aux biocarburants. Ainsi, un employé de la Sépaq en poste dans la réserve faunique de Mastigouche, dans la région de Lanaudière, a proposé de remplacer le diésel des machineries lourdes et des scies mécaniques par du biodiésel. Outre l'aspect moins polluant du recours à ce type de carburant, cette alternative a permis de réaliser des économies de 10 à 20%. La Sépaq étudie comment elle pourrait étendre cette solution à ses autres réserves fauniques.

D'autres initiatives vertes seront mises de l'avant, assure Aubin Rouleau. «Nous sommes ouverts à toutes les idées.»

édité par Ultimatum Media

jeudi 18 février 2010

Le bouclier protecteur de la Terre se détruit – diminution de la couche d'ozone et réchauffement global

Ozone stratosphérique

L'atmosphère terrestre est composée de différentes couches. La couche qui recouvre la surface du globe est appelée la troposphère et a une épaisseur de 10 kilomètres. La couche d'ozone, situé au-dessus de la troposphère, dans la stratosphère, s’étend à partir du 10e kilomètre jusqu’au 50e. L'ozone stratosphérique joue le rôle de protection naturelle contre les dommages causés par les rayons ultraviolets du soleil pour toutes les formes de vie sur la Terre. Ces rayons sont nocifs pour les humains, les animaux et les plantes. Plusieurs produits chimiques détruisent la couche d’ozone, dont les fluides frigorigènes, les halons et le bromure de méthyle, un pesticide utilisé en agriculture.

Les températures plus froides augmentent les dommages à la couche d'ozone

Les dommages à la couche d'ozone augmentent lorsque la stratosphère est très froide. Ce fut le cas au cours des deux dernières années. L'hiver dernier, l'appauvrissement de la couche d'ozone a atteint des niveaux jamais atteints dans l'hémisphère Nord. La couche d’ozone au-dessus des états de l’ouest américain diminue dans une proportion de 3 à 4% à tous les 10 ans. Même si l’ont parvenait à éliminer les émissions nocives, il faudrait 10 ans, soit jusqu’en 2020, avant que la couche d'ozone ne se reconstitue complètement.

Protocole de Montréal

Sous les auspices du Programme des Nations Unies pour l'environnement, les gouvernements du monde, dont les États-Unis, ont profité du Protocole de Montréal, en 1987, pour adopter des mesures communes pour stopper l’appauvrissement de la couche d’ozone.

Réchauffement climatique

Les termes : « réchauffement planétaire » et « changements climatique s» sont souvent interchangeables. Les gaz comme le dioxyde de carbone, le méthane, l’oxyde d’azote et les fluides frigorigènes créent un effet de serre qui emprisonne la chaleur dans l’atmosphère.

Les preuves du réchauffement planétaire

En 1995, 2.500 chercheurs ont participé à la rédaction d’un rapport intitulé « La seconde évaluation du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat» (GIEC). Le GIEC affirme que le réchauffement planétaire et les changements climatiques sont bien réels et que les émissions de gaz à effet de serre sont bel et bien causées par l'homme. Les effets néfastes du réchauffement sont nombreux. Le réchauffement cause une élévation du niveau de la mer, des phénomènes météorologiques extrêmes comme les vagues de chaleur, le gel, les sécheresses, les tempêtes, l’extinction d’espèces, la perte de forêts entières, la destruction de la vie marine et la fonte des glaciers.

Température de la Terre est en augmentation

1998 a été l'année la plus chaude depuis les premiers relevés précis, en1840, et 10 des années les plus chaudes ont été enregistrées au cours des 15 dernières années. En examinant les anneaux de croissance des arbres et des carottes de glace prélevées en Antarctique, les scientifiques ont conclu que la dernière décennie a été la plus chaude depuis plus de quatre siècles, et que le rythme actuel du réchauffement est sans précédent sur une période de 10.000 ans.

Les dommages à l’environnement ont déjà commencé. Le niveau de la mer a augmenté de 10 à 25 centimètres et continuera d'augmenter pendant des siècles, même si nous éliminions immédiatement les émissions de gaz à effet de serre. Comme la planète se réchauffe, l’avenir est sombre pour toutes les formes de vie, à moins que nous ne parvenions à abaisser la chaleur en réduisant les gaz à effet de serre dans l'atmosphère.

Protocole de Kyoto

En 1997, l'adoption du Protocole de Kyoto a permis l’élaboration de politiques et de mesures dont des objectifs chiffrés de limitation et de réduction des émissions de gaz à effet de serre non couverts par le Protocole de Montréal.

Le réchauffement planétaire peut accélérer l’appauvrissement de la couche d'ozone

Les scientifiques craignent que le réchauffement planétaire n’entraîne une accélération de la destruction de la couche d'ozone et accélère l'appauvrissement de l'ozone stratosphérique. L’appauvrissement de l'ozone survient lorsque la stratosphère (où la couche d'ozone), devient plus froide. Parce que le réchauffement mondial piège la chaleur dans la troposphère, moins de chaleur ne regagne la stratosphère, la rendant plus froide. Les gaz à effet de serre agissent comme une couverture pour la troposphère et la température dans la stratosphère diminue.

Effets de l'appauvrissement de l'ozone et le réchauffement global

Les rayons (UV-B) provoquent le cancer de la peau, les cataractes et l’affaiblissement du système immunitaire chez les animaux et les humains. Les UV-B endommagent les plantes, les forêts de feuillus et les phytoplanctons, qui sont à la base de la chaîne alimentaire océanique.

Effet sur les maladies infectieuses

La plupart des maladies infectieuses sont transmises par les insectes et les rongeurs. Les transmetteurs de maladie sont appelés vecteurs. Par exemple, les moustiques transmettent le paludisme, la dengue et l'encéphalite virale (l’inflammation du cerveau). Comme les autres animaux et les plantes, les vecteurs sont habitués à certaines conditions climatiques. Si le climat devient plus chaud, le moustique migre vers des endroits où il peut survivre et infecter d’autres personnes. Les changements de température à la surface de l’eau et le niveau de la mer peuvent entraîner une incidence élevée des maladies infectieuses qui se développent en milieu marin de même que les maladies causées par des toxines comme le paludisme, le choléra et la dengue.

Les risques d’infections augmentent chez l'être humain en raison de malnutrition. Les rayons UV-B profitent de l’appauvrissement de la couche d’ozone pour causer des dommages aux plantes et aux animaux et à beaucoup d’autres formes de vie. Les dommages aux cultures vont entraîner une réduction des approvisionnements d’aliments. Les UV-B peuvent aussi endommager le système immunitaire des mammifères, ce qui rend les humains et autres animaux plus vulnérables aux maladies infectieuses.

Près de 92 millions de personnes deviendront les réfugiés du réchauffement de la planète et des changements climatiques d’ici 2100, sans compter les problèmes reliés à la croissance démographique.

Effets sur la chaîne alimentaire terrestre

L’appauvrissement de la couche d'ozone et le réchauffement climatique ont des effets néfastes sur les plantes et les animaux. Si cela continue, toute la chaîne alimentaire va en être gravement perturbée. Les phytoplanctons, par exemple, sont de minuscules algues flottant dans les océans qui sont la base de la chaîne alimentaire marine. En Antarctique, on a relevé un appauvrissement de la couche d’ozone de plus de 50 pour cent. Cela signifie qu'une quantité exceptionnellement élevée de rayons UV-B a atteint la surface de la Terre dans l’Antarctique. Les UV-B nuisent à la l’activité du phytoplancton, ce qui réduit la quantité de nourriture disponible pour les animaux qui s’en nourrissent. Les phytoplanctons absorbent beaucoup de carbone dans l'air. À mesure que rayons UV-B détruisent les phytoplanctons, ce carbone n'est plus absorbé. Cela signifie que de plus grandes quantités de carbone restent dans l'atmosphère, contribuant au réchauffement de la planète. Le réchauffement planétaire cause un appauvrissement accru de la couche d'ozone, ce qui détruit plus de phytoplanctons, et le processus se répète.


Environ 70 pour cent de l'électricité mondiale est produite par la combustion de combustibles fossiles. Pour chaque kWh supplémentaire consommé, les émissions de gaz à effet de serre générés par les centrales électriques publiques augmentent. C'est l'effet indirect qu’on les fluides frigorigènes sur le réchauffement. Les plus petites variations de l’énergie de refroidissement ont un impact sur l’environnement. Il est nécessaire d'utiliser des fluides frigorigènes qui réduisent au minimum l’appauvrissement de la couche d’ozone et les gaz à effet de serre afin de répondre aux préoccupations environnementales mondiales. Si l'efficacité de tous les refroidisseurs centrifuges dans le monde augmentait de seulement 8 centièmes de kilowatt par tonne, on compte en centaines de millions de kilogrammes la réduction des émissions de gaz à effet de serre. Il s'agit d'un montant équivalent au retrait de près de deux millions de voitures des routes annuellement, ou à planter près d'un demi milliard d'arbres.

Plan d'action pour les organisations utilisant les fluides frigorigènes

La plupart des fluides frigorigènes utilisés dans la climatisation et la réfrigération contribuent au réchauffement climatique, en plus de d'appauvrir la couche d'ozone. Même les réfrigérants qui n’appauvrissent pas la couche d'ozone contribuent au réchauffement climatique. Les entreprises et les organisations qui utilisent des réfrigérants sont encouragés à adopter dès maintenant des mesures qui leur profitent mais qui profitent également à l'environnement.

Les entreprises qui utilisent des fluides frigorigènes doivent réduire les émissions de gaz qui appauvrissent la couche d'ozone et qui ont un effet direct sur réchauffement planétaire. Les organisations qui utilisent des réfrigérants devraient mettre en application les meilleures pratiques de gestion des réfrigérants en existence afin de minimiser les émissions à chaque étape de la manipulation de frigorigènes.

mercredi 17 février 2010

Véhicules de l'avenir: l’électricité et l’aluminium s'unissent

L'électricité et l'aluminium, deux ressources qu’on retrouve en abondance au Québec, s’associent dans le cadre de projets de véhicules électriques.
Le directeur général du Centre national du transport avancé, Pierre Lavallée, a fait savoir qu’un projet important dans ce sens devrait être annoncé dans les prochaines semaines. Le CNTA et la Société de la vallée de l'aluminium ont signé une entente de collaboration pour développer des composantes pour des véhicules électriques.
Pour chaque kilogramme d'aluminium substitué dans une automobile, on évite 20 kilos d'émissions de GES au cours de la vie utile du véhicule. C’est ce qu’affirme Luc Roby, directeur de la Société de la vallée de l'aluminium, un organisme de promotion de l'utilisation du métal dans la fabrication de produits à valeur ajoutée.
La cible de réduction des gaz à effet de serre (GES) - soit 20% sous les niveaux de 1990 d'ici 2020 - obligera le secteur des transports (qui représente 40% des émissions québécoises) à réaliser une amélioration radicale de sa performance éco-énergétique.
Les expertises combinées du CNTA, de la SVA et d'entreprises québécoises, devraient permettre de lancer des projets importants de fabrication de véhicules ou de composantes, qui seront annoncés au cours des prochaines semaines.

www.ultimatummedia.com soutient toutes les initiatives de sauvegarde de l'environnement

lundi 15 février 2010

Students cycling to raise going green awareness

About 100 students on bicycles from different areas of the province of Québec are on their way to reach Québec's parliament on Wednesday.
They are stopping along thew way in schools to raise scholl children awareness to the benefits of going green to protect the environnement.
Ultimatum Media supports this initiative.

vendredi 12 février 2010

Global warming but more snow?

Global warming naysayers believe that the recent snowfalls in the New England States and in Rome yesterday prove that the climate is not warming. We, at ultimatummedia.com, think that, on the contrary, it is real. Global warming means more evaporation. More evaporation equals more precipitations. What dop you think?

mercredi 10 février 2010

Énergies renouvelables

L’énergie renouvelable n’est pas produite à partir de ressources naturelles précieuses, mais bien en mettant à contribution l’énergie solaire, éolienne, hydroélectrique, de biomasse et de biogaz, pour ne nommer que celles-ci. L’énergie renouvelable produit beaucoup moins d’émissions de dioxyde de carbone. www.ultimatummedia.com soutient toutes les initiatives en ce sens.

mardi 9 février 2010

The church and the environment

Montreal is hosting a conference called "Green Church" today. www.ultimatummedia.com supports this inititative to help protect the environment.

lundi 8 février 2010

Le gaz à effet de serre CO2, bientôt source de carburant?

Le dioxyde de carbone, depuis longtemps identifié comme le principal coupable du réchauffement de la planète, pourrait se faire une nouvelle vertu si une petite société américaine réussissait son pari de le transformer en essence. La technologie développée par Carbon Sciences recourt à des micro-organismes, qu'elle appelle "bio-catalyseurs": dans un premier temps il faut "déstabiliser" le dioxyde de carbone en le mélangeant avec de l'eau. Puis les micro-organismes, protégés par des coquilles de polymère spécialement mises au point, se chargent de recomposer hydrogène et carbone pour produire des hydrocarbures. Cette petite entreprise de Santa Barbara se dit prête à construire une première usine pilote à l'échelle opérationnelle, qui pourrait commencer à produire un biocarburant de nouvelle génération dès la fin 2010.

Depuis le début de la révolution industrielle, les combustibles fossiles à faible coût, comme le pétrole et le charbon, ont propulsé l'humanité vers une nouvelle ère de progrès technologiques et dans la vie moderne. L'industrialisation s’est étendue à toutes les régions de la planète, mais cela a entraîné une forte augmentation de la consommation de carburants fossiles. La demande pour ces ressources non-renouvelables a fait grimper les coûts de l'énergie à des niveaux inimaginables, et ce faisant, a entraîné le rejet dans l’atmosphère de milliards de tonnes de CO2. Cette double crise énergétique et climatique menace notre mode de vie, ainsi que la sécurité des nations. Relever ce défi est l'un des besoins les plus pressants de notre époque.

La science du carbone a permis l'élaboration d'une technologie révolutionnaire : recycler le dioxyde de carbone (CO2) en l’utilisant dans la production d’essence et autres combustibles. Innover à l'intersection de génie chimique et bio-disciplines de l'ingénierie, nous développons un unique, l'efficacité énergétique et hautement évolutive de procédés biocatalytiques pour répondre aux besoins en carburant de la planète. Avec plus de 43 milliards de tonnes de CO2 émises chaque année d'ici à 2030, il ya une offre abondante de matières premières disponibles pour produire des carburants renouvelables et durables pour la consommation mondiale et de réduire notre dépendance au pétrole.

vendredi 5 février 2010

eco2-system gogreen

Notre monde suffoque!!!

Les effets de la pollution sur la santé humaine et sur l'environnement sont incalculables.

On sait cependant que si l'on ne réussit pas bientôt à freiner le réchauffement climatique, les dommages à l'environnement vont empirer au point d’être irréversibles. La santé de nos enfants, celle de leurs enfants et de leurs petits-enfants pourrait souffrir lourdement de notre immobilisme.

Alors que nos élus tardent à s'entendre et à prendre des décisions concrètes, nous devons agir. C'est exactement ce que fait l'entreprise SD Réfrigération de Québec.

Grâce à SD Réfrigération, le tournant vert est déjà amorcé dans l'industrie. Les réfrigérants synthétiques, qui endommagent la couche d'ozone, sont graduellement remplacés par des produits qui ne dégagent pas de gaz à effet de serre.

SD Réfrigération a innové dans ce domaine. En novembre 2009, cette compagnie a installé un système de réfrigération fonctionnant au gaz « co2 » à 100% dans le supermarché IGA des Sources, à Québec. La réfrigération ET la récupération de chaleur se font en utilisant du « dioxyde de carbone ». SD Réfrigération a par le fait même confondu les experts, qui croyaient impossible la récupération la chaleur en employant du « co2 ». Le « dioxyde de carbone» employé dans « l'Eco2-System » de SD Réfrigération permet également de maintenir des températures stables et de dégivrer par gaz chaud.

SD Réfrigération, en collaboration avec le groupe CSC de Montréal, a causé toute une onde de choc dans l'industrie de la réfrigération avec l’« Eco2-System ». Cette technologie brevetée est unique car le « dioxyde de carbone » est un gaz que l'on retrouve à l'état naturel qui, contrairement à l'ammoniac, est inoffensif pour la santé et l'environnement. Le « dioxyde de carbone » est éco énergétique et, détail non négligeable, il est peu coûteux.

Que ce soit dans le secteur commercial, dans l'industriel, l'agro-alimentaire, ou même pharmaceutique, l' »Eco2-System » de SD Réfrigération représente la seule véritable solution aux problèmes environnementaux posés par les systèmes de réfrigération fonctionnant aux gaz synthétiques.

SD Réfrigération est au cœur de l’innovation dans le secteur de la réfrigération!!!

jeudi 4 février 2010

gogreen company

SD Refrigeration en bref:

ventilation:


La qualité de l'air intérieur est importante. Êtes-vous conscients des risques que représentent pour votre santé la poussière, la saleté, la moisissure, les particules, les allergènes, les composés organiques volatils, le monoxyde de carbone, et autres contaminants chimiques?


Les conduits d’aération mal entretenus peuvent causer de nombreux problèmes de santé et des troubles respiratoires.

De plus, le nettoyage des conduits d'aération peut réduire les mauvaises odeurs. Avec le temps, la moisissure et d'autres types de particules, même des nsectes nuisibles, collent aux conduits et dégaget des mauvaises odeurs. Comme l'on passe la majorité de notre temps à l’intérieur, nous respirons donc de l’air contaminé au travail et à la maison. Cela peut causer de sérieux problèmes de santé et aggraver ceux dont vous souffrez déjà.


Les débris et la moisissure s’accumulant dans les conduits d’air, ils réduisent graduellement l’efficacité du système, ce qui entraîne une augmentation des coûts de chauffage et de climatisation.


SD Réfrigération vous offres des services professionnels pour améliorer la qualité de l'air intérieur. Nous pouvons aussi vous proposer des mesures de prévention, de dépistage et de gestion des problèmes de la qualité de l’air intérieur.

Nos ingénieurs

Nos ingénieurs

mardi 2 février 2010

Changements importants en réfrigération

Le CO2 existe à l’état naturel à l'état gazeux.

Le CO2 est aussi connu sous les termes : gaz carbonique, anhydride carbonique et dioxyde de carbone.

Au 19e siècle, il était utilisé entre autres pour produire le froid utile à la conservation des poissons sur les navires de pêche. Il a par la suite été remplacé par les fluides fluorés. Le CO2 a des propriétés thermodynamiques et environnementales qui en font le fluide d’avenir en réfrigération.

Le CO2 possède des propriétés thermodynamiques et thermo-physiques remarquables. La molécule de CO2 est l’unité de référence en matière de réchauffement climatique avec un PRP – Potentiel de Réchauffement de la planète – de 1, contre 1300 pour le R134a et 3260 pour le R404A.

Le CO2 est un fluide frigorigène qui garantit une durée de vie améliorée de vos installations et son utilisation s’inscrit directement dans une politique de développement durable de votre entreprise.

Le CO2 est un fluide non toxique, non inflammable, et de qualité alimentaire. Les aliments qui entreraient en contact avec le CO2 demeurent propres à la consommation.

Le CO2 a des propriétés uniques et des grands avantages sur d’autres réfrigérants naturels connus.

En effet, l'ammoniac est toxique, les hydrocarbures sont inflammables et l'eau offre des possibilités d'application limitées.

Plusieurs innovations techniques ont fait graduellement tomber nombre de barrières qui limitaient auparavant l'utilisation du CO2. Toutefois, les utilisateurs de CO2 doivent être conscients des propriétés particulières de ce réfrigérant et prendre les précautions nécessaires pour éviter tout problème dans les systèmes de réfrigération.

Consultez les frigoristes qualifiés de SD Réfrigération, de Québec, concernant l’utilisation de dioxyde de carbone dans les applications de réfrigération industrielle.

L'utilisation de dioxyde de carbone comme un réfrigérant suscite beaucoup d’intérêt depuis quelques années. Dans l’industrie en général, on aurait intérêt à se familiariser avec ce réfrigérant.
L'utilisation de CO2 dans les systèmes de réfrigération conventionnels présente plusieurs propriétés intéressantes qui doivent être comprises.

Le rapport de pression/température de ce réfrigérant est une des inquiétudes primaires.